Upload
Greg Daniels présente une nouvelle comédie de science-fiction, dans un futur où l'on peut "uploader" sa conscience pour rejoindre un au-delà virtuel de luxe. C'est là que se retrouve Nathan, un fêtard fraîchement uploadé. Guidé par Nora, son "ange gardien" un peu trop pragmatique, Nathan va reconsidérer ses ...
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| Terminée | Américaine, US, CA | Pas de durée |
| Comedy, Romance, Science-Fiction, Comédie, Science-Fiction & Fantastique, Drame | Amazon, Amazon Prime Video, Prime Video | 2020 |
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1.01 -
Bienvenue dans l'Upload
Welcome to Upload
Suite à l'accident de sa voiture autonome, Nathan est uploadé à "Lakeview", le monde en réalité virtuelle de la famille de sa petite amie. Là bas, il fait la rencontre de son "ange gardien", Nora.
Diffusion originale : 30 avril 2020
Diffusion française :
30 avril 2020
Réalisat.eur.rice.s :
Greg Daniels
Scénariste.s :
Greg Daniels
Guest.s :
Charlie Hewson
,
Chloe Coleman
,
Chris Williams
,
Jessica Tuck
,
Johnny Chavez
,
Jordan Johnson-Hinds
,
Megan Ferguson
,
Serykah Aggerwhil
,
Greg Romero Wilson
,
Charles Hewson
,
Rebecca Delgado Smith
,
Judith Moreland
,
Julia Cho
,
A.J. Rivera
,
Amy Tolsky
,
Roberto Aldrete
,
Celeste Pechous
,
Larissa Gallagher
,
Wayne Wilderson
,
Matt Braunger
,
Christine Ko
,
Andrea Rosen
,
Josh Banday
,
Owen Daniels

Greg Daniels en force mes amis, à défaut d’être en forme. En quasi-parallèle de son (pas terrible) Space Force, est sortie Upload. Et si on ne peut pas parler de chef d’œuvre, le pilote offre un moment agréable, malgré quelques « gags » assez gênant (le pipi ou le pet qui sent la cannelle) ou piteux (la projection de la nièce sur le canapé), un personnage caricatural (Ingrid) et certaines choses qui ne fonctionnent pas (telle la manière de se faire uploader, certes cela permet un effet comique (les filles qui crie tandis que le corps tombe dans la glace), mais c’est invraisemblable, jamais une société misant sur la vie après la mort n‘emploierait une méthode aussi brutale et traumatisante. Mais aussi, le fait qu’un résident puisse décider de la météo du dehors (comment ça marche pour les autres ? Ils subissent ?) ou, je chipote, l’idée que cela permet d’être connecté à vie à UNE seule personne restée vivante). Mais si on accepte de fermer les yeux sur ses approximations d’écritures et le charisme vacillant de Robbie Amell (on dirait un bovin) le reste tient la route, les milles idées d’un Futur hyperconnectés sont bien trouvés et lorsqu’on bifurque vers un paradis artificiel, on se retrouve devant un genre de mix entre Black Mirror et The Good Place, loin d’être déplaisant, même si imparfait.
A voir comment cela va évoluer.